Test du sac S/Lab Ultra 10 de SalomonTemps de lecture estimé : 11 minutes

Vous cherchez un test du sac S/Lab Ultra 10 de Salomon ? Cet article est fait pour vous !

Ultra 10 - Illustration

Salomon et la collection Ultra

Sur ce site, j’ai l’habitude de commencer mes articles de test matériel avec une présentation détaillée de la marque créatrice du produit. Ici, est-ce nécessaire ?

Née en 1947 au cœur des Alpes françaises, Salomon propose des chaussures, vêtements, accessoires et équipements de sports d’hiver haut de gamme à la technicité sans égale, au design radical et au style peaufiné jusqu’à l’obsession. À l’Annecy Design Center, des ingénieurs, designers et athlètes collaborent pour écrire l’avenir du sport en créant des produits qui transforment l’expérience outdoor et favorisent la communion avec la nature, pour permettre à chacun de libérer son plein potentiel et d’avoir un impact positif sur le monde.

Pilier incontournable du matériel outdoor depuis sa création par Georges Salomon, la marque rayonne dans le monde du trail depuis les années 2000. À cette époque, Kilian Jornet s’illustre sur les courses les plus relevés, avec des chaussures comme on n’en avait jamais vu, et un sac Skin révolutionnaire de minimalisme.

 

La gamme Ultra – François d’Haene x Salomon

Quelques années plus tard, en 2009 et dans l’ombre de Kilian (ou plutôt l’inverse, vu l’écart de taille entre les deux monsieurs), un coureur de 1m92 rejoint la team Salomon. Avec des performances à la hauteur de l’homme, François d’Haene fait à son tour vibrer le monde du trail running à travers des performances retentissantes, et un S majuscule fièrement brodé sur son équipement.

La gamme Ultra, c’est le fruit de 10 ans de collaboration entre François d’Haene et Salomon. La mention “Born from a decade of shared vision. François x Salomon.” (“Né d’une décennie de vision partagée. François x Salomon”), présente sur chaque produit de cette collection, est d’ailleurs là pour le rappeler. Cette gamme, c’est l’aboutissement d’innombrables heures passées en usine et en réunion à réfléchir aux produits, et sur les sentiers à tester des dizaines de prototypes. Elle a pour but de rendre accessible aux athlètes, et à toutes les personnes pratiquant le trail et l’ultra-trail, les produits Salomon utilisés par François, en transmettant sa passion pour ce sport, et son esprit.

 

Le sac S/Lab Ultra 10 de Salomon

Si vous êtes habitués aux Adv Skin et aux Sense de la marque, oubliez-les. Le sac S/Lab Ultra 10 de Salomon, et François d’Haene, est là pour relayer ces produits, déjà rayonnant d’innovation, au second rang. Produit phare de la collection Ultra (avec les chaussures, dont vous retrouverez le test ici), cette veste d’hydratation a été conçue avec l’ambition de dépasser le spectre du connu.

“Mais ce sac, l’a-t-on déjà vu ?” me demanderez-vous… Oui plusieurs fois. En tout cas, vous avez, sans aucun doute déjà aperçu les prototypes de cet S/Lab Ultra 10 puisque François les portait lors de son Hardrock 100 2021 et 2022, durant son UTMB 2021, ou encore lors de sa tentative de record sur le Pacific Crest Trail.

 

Présentation générale du S/Lab Ultra 10

Revenons à nos moutons, le sac S/Lab Ultra 10, issu de la collaboration entre François et Salomon a été pensé pour les trails de longues distances, et les ultra-trails. Il se veut proposer une conception confortable, “seconde peau”. Il avance aussi dépasser tout ce qui a été fait en termes de fonctionnalité et de fit.

Son volume de 10 litres est réparti entre de nombreuses poches disposées à 360°, pour accueillir l’essentiel de l’équipement, et rien de plus (ça vous rappelle un sac que j’ai testé ?). Léger, il adopte la construction Sensifit et le système de serrage par sangles de poitrine Quick Link.

 

Caractéristiques techniques du S/Lab Ultra 10 de Salomon

  • Poids ➡️ 135 grammes vide (pesé par mes soins)
  • Volume ➡️ 10L
  • Poches ➡️ 12 poches réparties à 360°, à savoir 2 poches à flasks, 2 poches frontales en mesh, 2 poches frontales (vers les épaules) avec fermeture éclair, 2 poches latérales en mesh, 2 poches latérales avec fermeture éclair, une grande poche dorsale (très) extensible, une petite poche dorsale
  • Porte-bâtons ➡️ Oui, le sac possède différentes accroches pour y positionner des élastiques de serrage fournis à l’achat. Le sac est également, et surtout, compatible avec le carquois Custom Quiver Salomon.
  • Compatible poche à eau ➡️ Non
  • Flasks ➡️ Oui, fournies. Ultraflasks S/Lab de 500mL avec une forme anatomique (inclinaison de la tête) et ergonomique (profilage en cône) pour s’insérer facilement dans les poches
  • Position des flasks ➡️ Haute, par-dessus les pectoraux
  • Poche à téléphone sécurisée ➡️ Oui, sur les flancs, avec fermeture éclair, ou non
  • Imperméable ➡️ Non
  • Tailles disponibles ➡️ de 2XS à XL
  • Autre(s) info(s) ➡️ Sifflet accroché dans une des poches frontales zippées
  • Prix ➡️ 200€

 

Présentation détaillée du sac S/Lab Ultra 10 de Salomon

 

Mon test du sac S/Lab Ultra 10 de Salomon

Conditions du test

Le test de stabilité

Tout d’abord, je lui ai fait passer mon classique test de stabilité que j’applique à tous les tests de sac que je réalise. Plus précisément, j’ai couru avec le sac bien chargé dans une pente légère (10°), dans une pente prononcée (20°), et à plat. J’ai parcouru chacune de ces pentes avec les flasks pleines, à moitié pleines, et vides, soit un croisement de 9 situations possibles (3 inclinaisons de pente x 3 niveaux de remplissage des flasks).

Pour ce test de stabilité, j’ai rempli le sac avec presque tout le matériel obligatoire de l’UTMB, soit :

  • Poches ventrales ➡️ 2 flasks S/Lab 500mL, de la nourriture pour 4 heures de course soit environ 12 carrés BeeA Energy mon partenaire nutrition (plus d’info ici, ici, et ici) dans les poches extensibles, deux gels dans la poche zippée gauche, et mes clés de maison et de vélo dans la poche zippée droite.
  • Poches latérales ➡️ Une couverture de survie, une bande élastique, une pile de rechange pour la frontale et ma carte d’identité dans la poche latérale zippée gauche. Mon téléphone dans la poche latérale zippée droite. Une paire de gants dans la poche extensibles droite, et un bonnet dans la gauche.
  • Poches dorsales ➡️ Un collant, un manches longues chaud et une veste imperméable dans la grande poche dorsale. Deux lampes frontales et un gobelet dans la petite poche extensible.

 

Les autres tests

En dehors de ce test de stabilité, j’ai emmené ce sac partout avec moi pendant environ 4 semaines, sur quasiment toutes mes séances de trail. J’ai fait avec lui des montées et des descentes intenses, et des entraînements plus tranquilles. J’ai par exemple fait deux épreuves d’au Gresivaudan Xpress (montées sèches entre 500 et 1000m D+) avec lui. Ce sac S/Lab Ultra 10 m’a également accompagné sur une sortie longue de 20km et 900m D+/-, une de 22km et 1500m D+/-, et une de 40km et 2800m D+/-. J’ai aussi joué sur différents niveaux de chargement du sac, pour tester s’il se comportait de la même façon peu chargé, et bien chargé.

Bref, j’ai fait de nombreux entraînements différents avec ce sac, dans des conditions diverses et variées. Toutes ces utilisations m’ont permis de me faire une idée précise de son ergonomie, sa polyvalence, sa stabilité, son confort, etc.

 

Ce que j’ai aimé sur le S/Lab Ultra 10 de Salomon

Les qualités du sac S/Lab Ultra 10 de Salomon sont nombreuses. Je vous propose ci-dessous un focus, non-exhaustif, sur les 3 aspects de ce dernier qui m’ont le plus séduit à l’utilisation.

Facilité insertion flasks

La première chose que j’ai adoré sur ce S/Lab Ultra 10 est la facilité de rangements des flasks. Les poches sont pensées de façon à ce que leur largeur et leur positionnement facilitent une insertion rapide. De plus, la forme des S/LAB Soft Flask 500mL est plus conique que celle des Soft Flask classiques de même contenance. C’est pour moi la raison principale de cette facilité d’insertion.

Ultra 10 - Soft flask classique vs. Flask S_Lab
Soft flask classique vs. Flask S/Lab

Cette facilité m’a tellement impressionnée que je me suis amusé à me chronométrer ! Record personnel : 7secs28. Le chronométrage était réalisé par un arbitre officiel, avec les poches frontales remplies de nourriture, évidemment ! Plaisanterie à part, le rangement des flasks peut être problématique sur certains sacs (par exemple sur celui-ci, testé sur le site). Avec le S/Lab Ultra 10, j’ai le sentiment que François et Salomon ont vraiment travaillé ce point, pour transformer en jeu d’enfant cette étape que tous trailers et traileuses rencontrent, et c’est largement réussi !

 

Stabilité avant et arrière

Le deuxième point qui m’a beaucoup plu est la stabilité de ce S/Lab Ultra 10. Commençons par la stabilité arrière. Celle-ci est parfaite. Je n’ai simplement rien à redire sur ce point. Le contenu de la grande poche dorsale est toujours parfaitement maintenu, quel que soit son niveau de remplissage. J’ai pu constater cette stabilité arrière remarquable tant avec simplement une veste imperméable dedans, qu’avec une veste + un collant + un manches longues chaud + un t-shirt à manches longues. Vous pourrez constater l’excellence de cette stabilité arrière sur les images de la vidéo (en bas de cet article).

Concernant sa stabilité avant, je l’ai également réellement appréciée. Elle est légèrement moins prononcée que l’arrière. Cependant c’est une des plus prononcées que j’ai eu la chance d’essayer. Le contenu des poches ventrales ne bouge absolument pas. J’avais une petite crainte, comme le haut de la poche n’est pas plaquée au sac et “baille” un peu, mais à l’utilisation, c’est parfait. Concernant les flasks, comme vous le verrez sur les images, leur stabilité est remarquable, et leurs mouvements sont infimes.

Les minimes mouvements des flasks qu’on peut parfois observer sont peut-être le revers de la médaille de la facilité de leur insertion. En effet, les poches à flasks sont assez larges. Une fois les flasks rangées, on peut observer un petit espace autour d’elles. Au vu de l’immense aisance de leur rangement, et de l’ingéniosité de leur forme, peut-être que réduire un peu la largeur de ces poches rendrait la stabilité parfaite. Ceci dit, je l’ai déjà trouvé géniale en l’état.

 

Fit, légèreté, polyvalence et confort

Fit et poids

Le dernier aspect que j’ai apprécié sur ce sac est un ensemble de points qui le caractérise. Tout d’abord, son fit est génial. Contrairement aux Adv Skin 5 et 12 (que je possède, donc la comparaison est facile), le S/Lab Ultra 10 épouse parfaitement la forme du corps. Que ce soit au niveau des épaules ou du buste, comme par exemple en bas de la cage thoracique, le sac est plaqué au corps, renforçant son aspect gilet, et la sensation de ne rien porter. Ensuite, il ne pèse que 135g vide ce qui en fait de loin un des plus légers du marché.

Polyvalence

Ensuite, comme mentionné plus haut, j’ai testé le sac avec différents niveaux de chargement. J’ai ainsi pu apprécier son efficacité, égale et constante avec un chargement léger (p. ex. une veste, deux flasks) comme avec un chargement conséquent. Avec le S/Lab Ultra 10, et contrairement à certains concurrents qui ont presque autant de modèles que de volume imaginable, Salomon propose un sac versatile, avec donc un seul impact écologique par exemple, et qui vous accompagnera dans de nombreuses conditions différentes.

Confort (presque) parfait

Enfin, j’ai le sentiment que l’équipe de développement derrière ce sac s’est penchée avec attention sur le confort du sac. En de nombreux points, on peut remarquer des pièces ayant pour but de renforcer le sac, mais surtout d’augmenter son confort. Par exemple, les bordures des parties avant du sac sont doublées pour les rendre plus épaisses et moelleuses. De même, tout l’intérieur du sac à l’avant est lui doublé d’un mesh plus épais, mais parfaitement respirant. Ce dernier permet de ne pas sentir les objets rangés dans les poches ventrales extensibles ou zippées. Par exemple, je n’ai jamais senti mon trousseau de clés souvent rangé dans la poche frontale zippée, proche de la clavicule. Bref, à une petite exception près (voir ci-dessous), ce sac est un des plus confortables que j’ai essayé, et j’ai adoré ça.

 

Ce que j’ai moins aimé sur le S/Lab Ultra 10 de Salomon

Vous connaissez mes tests, et savez à quel point je peux être tatillon et soucieux du détail. Malgré les nombreux points positifs que je trouve à ce S/Lab Ultra 10, j’ai relevé 3 éléments sur lesquels je suis mitigé. Je ne vais pas dire que ce sont des défauts du sac, mais plutôt qu’ils m’ont moins convaincu, et qu’ils pourraient je pense être améliorés. Cette fois par contre, la liste est exhaustive.

Les poches latérales, extensibles et zippées

À l’utilisation, j’ai été perplexe à propos des poches latérales, tant les extensibles que les zippées.

Les poches latérales extensibles

Les poches extensibles sont celles que j’ai le moins aimées. Tout d’abord, elles sont (sur moi) peu accessibles. J’ai besoin de me contorsionner pour pouvoir les atteindre avec ma main. Ensuite, elles sont à mon sens peu ergonomiques. Une fois porté, le tissu est tendu et celles-ci ne portant pas de petite languette par exemple, trouver l’ouverture est souvent compliqué. Ensuite, leur position sur les flancs empêche de mettre certains objets comme une frontale, qu’on sentira vite appuyer sur les côtes. Elles me semblent donc peu adaptées pour accueillir des objets dont on aurait régulièrement besoin (p. ex. nourriture) de par leur manque d’accessibilité, et peu adaptée pour des objets aux formes particulières. J’ai donc le sentiment qu’on ne peut ranger dedans que du matériel comme des gants ou un bonnet, que nous n’emmenons pas souvent.

Les poches latérales zippées

Concernant les poches zippées, elles sont quant à elles bien accessibles. Cependant, étant aussi sur les flancs, elles n’accueillent pas bien des objets pouvant être douloureux s’ils appuient sur les côtes. Le zip m’a fait penser qu’elles étaient pensées pour un téléphone, mais quand j’y ai rangé le mien j’ai trouvé cela vraiment désagréable.

Il n’est pas très grand (13cm x 8cm, soit dans la moyenne) mais il appuyait alors sur mes flancs, et empêchait le sac d’être bien plaqué contre moi. Je l’en ai donc rapidement enlevé (par conséquent, j’ai du mal à saisir où ranger un smartphone dans ce sac …). J’ai mis une couverture de survie à l’intérieur d’une d’entre elles, mais l’autre est souvent resté vide, ne sachant pas quel objet y placer sans ressentir un certain inconfort.

Des poches au détriment d’une poche kangourou ?

De plus, la comparaison avec les Adv Skin 5 et 12 que je possède, et le positionnement de ces 4 poches, me laissent penser qu’elles sont placées au détriment de la poche kangourou présente sur la plupart des derniers sacs Salomon. Celle-ci servant souvent à la veste, il ne reste d’autre option que de ranger votre imperméable dans la grande poche dorsale, qui est moins accessible.

Je ne sais pas si ces poches sont moins bien qu’une poche kangourou. Je ne sais pas non plus pour quel objet elles ont été pensées (les marques fournissent rarement un mode d’emploi avec les sacs). Cependant, le type d’objet qu’elles peuvent accueillir étant restreint, et l’accessibilité de 2 d’entre elles étant pénible, je n’ai pas été totalement convaincu par ces 4 poches latérales. Je pense qu’elles peuvent être améliorées. Elles peuvent aussi totalement vous satisfaire si vous savez clairement quel matériel vous envisagez d’y ranger (p. ex. gants, bonnet, cache-cou, couverture de survie).

 

La petite poche dorsale extensible

Je suis également un peu mitigé sur la poche arrière extensible, pour une seule raison. Son contenu est totalement inaccessible (en-tout-cas pour moi) à l’effort. De plus, sa taille rend difficile d’y ranger certains objets volumineux (p. ex. ma veste imperméable ne rentre pas bien dedans). Cette poche est donc pour moi très spécifique à des objets que nous utiliserons rarement sur une course, mais de petites tailles. J’y ai par exemple rangé systématiquement ma / mes lampe(s) frontale(s) et mon gobelet.

En résumé, le croisement entre la petite contenance de cette poche et son accessibilité difficile en fait à mon sens une poche très spécifique. Ce n’est pas un défaut, mais plus un point que je vous recommande d’avoir en tête avant achat. Si comme moi vous savez exactement quel matériel vous souhaitez y ranger, ce point vous gênera très peu.

 

Les sangles ventrales Quick Link

Une fois n’est pas coutume, je ne parlerai pas ici de point négatif, mais de “point d’alerte”. Cela est peut-être très personnel, mais j’ai toujours été partagé sur le système de serrage ventrale Quick Link de Salomon, et ce quel que soit le sac. Cela pour une seule raison, il peut se révéler inconfortable et cingler / strier / zébrer (utiliser le verbe que vous préférerez) la peau au niveau du torse.

Il n’est pas du tout question de blessure, mais ce serrage étant 4 cordelettes élastiques fines tendues et appuyant sur la peau, une gêne peut apparaître. Ma solution à ce problème est de desserrer le système dès que possible, en montée par exemple. J’arrive à prévenir alors toute gêne. Peut-être qu’à l’avenir Salomon développera un système aussi efficace que celui-ci (car il l’est clairement), sans ce petit désagrément.

 

Conclusion de mon test du S/Lab Ultra 10 de Salomon

En conclusion, le sac S/Lab Ultra 10 de Salomon est pour moi un des plus aboutis du marché. La facilité de rangement des flasks S/Lab 500mL est déconcertante, en grande partie grâce à leur forme conique. Sa stabilité arrière est parfaite, et sa stabilité avant est proche de la perfection. Le fit ajusté, le poids moindre, et le confort de cette veste d’hydratation nous aident à l’oublier une fois porté, même bien remplie. Enfin, sa polyvalence remarquable en fera l’allié de la grande majorité de vos aventures sur les sentiers, pendant autant d’heures que vous voulez.

J’ai du mal à considérer les aspects que j’ai moins aimés comme des défauts. Seules les poches latérales sont pour moi un peu moins pratiques que le reste du sac, mais restent utiles et efficaces si un certains type de matériel, restreint, y est rangé. Ces points qui m’ont moins convaincu ne viennent cependant pas réellement ternir le reste de mon appréciation.

Schema récapitulatif du test

Ce sac S/Lab Ultra 10 est un bijou pour vos sorties en trail running. Confectionné avec passion et rigueur pendant des années par François d’Haene et l’équipe de développement Salomon, il sera un merveilleux compagnon pour passer de longueurs heures sur n’importe quels sentiers.

 

Se procurer le S/Lab Ultra 10

En achetant ce produit via un de ces liens affiliés, vous contribuez ACTIVEMENT à soutenir mon travail ! Je vous en remercie 🙏

Modèle bleu Modèle blanc

LIEN NON-AFFILIÉ

LIEN NON-AFFILIÉ

 

Vidéo résumé de mon test du S/Lab Ultra 10 de Salomon

Cyril Forestier

Trailer passionné 🏃🏻‍♂️ et docteur en science du mouvement humain (STAPS) 👨‍🔬 , je décrypte la littérature scientifique pour mieux comprendre notre pratique. Je rédige des articles afin de vulgariser des études, de vous partager mes tests matériels ou encore de vous communiquer ce qui me motive, tout ça dans le but de courir mieux ! Des réponses à vos questions se trouvent surement dans mes articles 😉.

 cyrilinthemountains@gmail.com

Laisser un commentaire

Retour en haut